HYMÉNOPTÈRES - (Xylocopa valga)*
Posté : dim. 20 déc. , 2020 17:54
Apidae
L’an dernier, je suis allé à St Jacques dans les Alpes de Haute Provence au 24 juillet 2019. Le site se situait au cœur de la Réserve Naturelle Géologique à 865 mètres d’altitude.
Rien ne présageait des rencontres avec des Xylocopes, mais elles étaient là en nombre, et de plusieurs espèces en prairies à 500 m.
A côté de l’ancienne ferme (devenu gîte) et d’une serre, poussaient quelques cardères sauvages. Et c’est là que j’ai tenté mes premières photos car les hyménoptères et papillons semblaient y rester plus longuement.
C’est ainsi que, le temps qu’ils fassent le tour de la fleur, j’ai pu me rapprocher pour effectuer des gros plans.
En première étape, pas évidente chez les Xylocopa, on peut identifier une femelle. On compte les tergites et on arrive à 6 sur une femelle. Si l'abdomen est plus long, et que l'on repère le 7ème élément, on peut imaginer un mâle.
Et si l'on a beaucoup de chance et qu'elle veuille bien vous montrer sa "papatte", on pourra peut-être entrapercevoir la "plaque tibiale" qui est un élément permettant de distinguer les espèces.
C'est ce rectangle "granuleux" formé de "4 rangées de tubercules" sur la partie antérieure du tibia postérieur qui permet d'affirmer que nous sommes en présence de Xylocopa valga.
L’an dernier, je suis allé à St Jacques dans les Alpes de Haute Provence au 24 juillet 2019. Le site se situait au cœur de la Réserve Naturelle Géologique à 865 mètres d’altitude.
Rien ne présageait des rencontres avec des Xylocopes, mais elles étaient là en nombre, et de plusieurs espèces en prairies à 500 m.
A côté de l’ancienne ferme (devenu gîte) et d’une serre, poussaient quelques cardères sauvages. Et c’est là que j’ai tenté mes premières photos car les hyménoptères et papillons semblaient y rester plus longuement.
C’est ainsi que, le temps qu’ils fassent le tour de la fleur, j’ai pu me rapprocher pour effectuer des gros plans.
En première étape, pas évidente chez les Xylocopa, on peut identifier une femelle. On compte les tergites et on arrive à 6 sur une femelle. Si l'abdomen est plus long, et que l'on repère le 7ème élément, on peut imaginer un mâle.
Et si l'on a beaucoup de chance et qu'elle veuille bien vous montrer sa "papatte", on pourra peut-être entrapercevoir la "plaque tibiale" qui est un élément permettant de distinguer les espèces.
C'est ce rectangle "granuleux" formé de "4 rangées de tubercules" sur la partie antérieure du tibia postérieur qui permet d'affirmer que nous sommes en présence de Xylocopa valga.